L’itinérance est un énorme problème pour les animaux partout dans le monde. Bien qu’il soit presque impossible de tenir un compte, l’Organisation mondiale de la santé estime qu’environ 200 millions de chiens à travers la planète vivent dans la rue, obligés de se débrouiller seuls.
Pour ces pauvres âmes innocentes, un aperçu d’amour et de réconfort est tout ce qu’elles recherchent. Et tandis que beaucoup d’entre eux n’auront jamais la chance d’être câlinés, certains d’entre eux sont si désespérés de trouver une consolation qu’ils se tournent vers des mesures désespérées. Et ce cliché plus triste que triste montre la réalité déchirante.
Cherchant à être mal aimé et oublié, un chien errant trouve son réconfort dans un ours en peluche. La scène touchante a été filmée par Yvette Holzbach à Houston et est immédiatement devenue virale sur les réseaux sociaux.
« Voici un chien errant qui se réconforte dans un jouet usé et abandonné », a écrit Yvette dans un article sur Facebook. « Combien de chiens que nous voyons sont également jetés à la rue une fois qu’ils ont atteint leur objectif ? »
La photo émouvante a réussi à susciter l’indignation en ligne avec des milliers de personnes montrant leur inquiétude pour le chien. Une personne, par exemple, a demandé au photographe : « Pourquoi n’avez-vous pas sauvé le chien ?
« Nous pouvons nourrir jusqu’à 50 chiens errants [quotidiennement]. Sur ces 50 chiens, nous avons de la chance si nous pouvons en sauver un car… il n’y a pas assez de foyers d’accueil », a expliqué la femme.
« S’il y a quelqu’un qui ne comprend pas très bien à quoi nous sommes confrontés, nous vous invitons à faire un tour avec nous. Vous serez étonné du nombre de chiens sans abri. Et elle a tellement raison !
Dans une mise à jour ultérieure, Yvette a expliqué qu’il avait capturé à la caméra, qu’il n’était pas sans abri, mais qu’il avait disparu.
« Nous avons découvert plus tard que le chien appartenait en fait à un homme de 80 ans », a-t-elle écrit. « Son chien avait disparu quelques semaines avant que je publie l’image et, malheureusement, il ne devait plus jamais être revu. »