😦 Une fille de cinq ans est entrée dans mon chariot de supermarché et m’a demandé de ne pas la rendre à ses parents.
Un soir, je faisais mes courses au supermarché. En lisant les dates de conservation des produits devant moi, je me suis retourné vers mon chariot et j’ai vu une petite fille de cinq ans assise dedans.
Au début, j’ai cru que ce n’était pas mon chariot, mais en y jetant un coup d’œil, j’ai remarqué qu’il était rempli des produits que j’avais choisis.
La petite fille m’a regardé et m’a salué. Après quelques échanges, elle m’a dit que sa mère n’était pas avec elle. J’ai alors regardé autour de moi, mais je n’ai vu personne chercher un enfant.
Je lui ai dit de ne pas s’inquiéter et que si ses parents ne revenaient pas, nous contacterions la police. Mais elle m’a regardé avec un visage suppliant et m’a dit : « Ne me rends pas, j’ai peur. »
J’ai pris la décision de l’emmener chez moi et de contacter la police plus tard pour retrouver ses parents. À ce moment-là, je n’imaginais même pas ce qui allait se passer ensuite.
La suite de mon histoire est dans l’article du premier commentaire 👇👇👇.
Désemparée, j’ai pris la décision de la ramener chez moi, espérant que ses parents viendrait la récupérer.
Mais personne n’est venu.
J’ai alors contacté mon ami détective, qui a découvert qu’elle s’était déjà échappée plusieurs fois auparavant.
Le lendemain, les services sociaux sont venus la chercher, mais avant de partir, elle m’a suppliée : « Ne me rends pas, j’ai peur. »
Mon cœur était brisé, mais je savais qu’elle avait besoin de plus qu’une solution temporaire.
En discutant avec sa mère, j’ai compris qu’elle se sentait submergée par la vie, surtout depuis la mort de son mari.
Elle m’a avoué qu’elle ne pouvait plus s’occuper d’elle, et j’ai proposé de la prendre en charge, le temps qu’elle puisse se reconstruire.
Les services sociaux ont accepté, et je l’ai accueilli chez moi.
Petit à petit, elle a trouvé du réconfort dans notre quotidien.
Un soir, elle m’a demandé : « Est-ce que je vais revoir maman ? »
Je lui ai répondu : « Oui, quand elle sera prête. »
Cette expérience m’a appris que l’amour, parfois, consiste à savoir quand lâcher prise et avoir foi en l’avenir.

